Critiques :
Les Contes d'Hoffmann - Nice :
"A ses côtés, Luca Lombardo possède la chaleur de timbre d’Hoffmann, et son engagement rappelle à plus d’un titre les ténors de légende grâce à la souplesse et aux qualités de nuances dont il fait preuve."
Michel Le Naour pour Concertclassic.com
Les Contes d'Hoffmann - Nice :
"Dans le rôle du poète transi et après son interprétation remarquable de Macduff dans le « Macbeth » de Verdi donné en ouverture de la saison niçoise, le ténor Luca Lombardo, offre cette fois-ci une voix magnifiquement chargée de souffrances intérieures laquelle, en évitant de tomber dans des affects vocaux et mélodramatiques factices, émeut le public au plus haut point."
Jean-Luc Vannier pour Nice Premium
Les Contes d'Hoffmann - Nice :
"Immense coup de chapeau à Luca Lombardo ! Loin des nauséeuses compromissions et autre annulation de certain, Lombardo serein, continue à exercer son métier. Le ténor offre une grande incarnation du Poète. Vocalement, il est actuellement au sommet de ses beaux moyens de lirico, dont la sage et patiente utilisation des moyens a patiné le timbre et les harmoniques. Sans jamais forcer son instrument, il assume non seulement la longueur de ce rôle fleuve mais également, les nombreux moments dramatiques émaillant sa partie. Ne perdant jamais de vue la primauté de la partition dont il sert admirablement les indications, Lombardo caractérise avec tact ses différents flash-back. Quel bonheur également de voir un ténor nous éviter les bras en croix ou la main sur le cœur…Scéniquement, l’Hoffmann de Lombardo est d’une simplicité confondante, désarmante et une grande source d’émotions. Ce répertoire français de héros écorché, auquel on peut ajouter les figures de Werther ou Don José, sied particulièrement à l’identité vocale de Lombardo. Actuellement, Lombardo par son intégrité vocale et l’assimilation d’un style, est l’Hoffmann français de sa génération."
Philippe Ponthir pour Forum Opera
Les Contes d'Hoffmann - Nice :
"À ses côtés, le Hoffmann doux et lyrique de Luca Lombardo nous rappelle combien ce ténor à la carrière trop modeste incarne une certaine idée du chant français ; il possède le talent et l'humilité d'un Raoul Jobin ou d'un Alain Vanzo (à qui il ressemble étrangement, tant par la voix que par le physique)."
Nicolas d'Estienne d'Orves pour Le Figaro
Macbeth - Nice :
"Luca Lombardo campe pour sa part un excellent Macduff tiraillé entre l’effondrement et la révolte, et qui sera finalement l’instrument de la vengeance."
Jean-Luc Vannier pour Concertclassic.com
Macbeth - Nice :
"Il n’y a en revanche que des éloges à adresser à la basse Giorgio Giuseppini (Banco), dont les graves profonds sont remarquables d’autorité, et au ténor marseillais Luca Lombardo (Macduff), impeccable dans son « Ah, la paterna mano », dont on attend avec gourmandise son Hoffmann, à Nice un peu plus tard dans la saison."
François Jestin pour Scènes Magazine
Tosca - Macerata :
"On ne présente plus Luca Lombardo, que les habitués de Bastille applaudissent régulièrement dans nombre de premiers rôles. Il a certainement atteint à l’heure actuelle la plénitude de ses moyens. Enfin un Mario viril, qui affronte aussi bien Tosca que Scarpia avec une mâle assurance, et déjoue tous les pièges de la partition avec la voix exacte du personnage et beaucoup de savoir faire musical."
Jean-Marcel Humbert pour Forumopera
Tosca - Macerata :
"A Luca Lombardo, infine, va la menzione maggiore per la passione e la forza che ha saputo infondere al suo Cavaradossi. La bellezza del suo “E lucevan le stelle...” è rimasta nell'aria delle notti maceratesi, come un eco che va avanti anche a luci spente. "
Fabrizio Chiappetti pour Vivere Marche
Tosca - Macerata :
"Luca Lombardo n’est certes pas un perdreau de l’année, mais ses apparitions en France sont tellement rare, y compris à Marseille, sa ville natale, que le voir enfin dans un premier rôle nous permet de mesurer pleinement son talent. La voix s’échauffe au cours de la représentation, jusqu’à un « E lucevan le stelle » empli de morbidezza."
Maxime Kaprielian a pour Resmusica
Louise - Opéra Bastille :
"Luca Lombardo va revêtir les habits de Julien, pour la dernière représentation (le 12 juillet) : il compose en attendant des personnages truculents, arborant une voix saine à la projection insolente."
Clément Taillia pour Forum Opera
Louise - Opéra Bastille :
"on sera également heureux d’entendre Luca Lombardo, décidément parfait en Noctambule, en Pape des fous et en Marchand d’habits."
Didier van Moere pour Concerto.net
Carmen- Tours :
"Luca Lombardo retrouve Don José, l'un des personnages qu'il a le plus chantés, avec un engagement toujours renouvelé. Il faudrait obliger les élèves des cours de chant à l'écouter pour prendre la mesure de ce qu'est le style français de demi-caractère, avec l'éclat, le phrasé et la diction qu'il suppose."
Jacques Bonnaure pour Opera Magazine
Ariane - St Etienne :
"Un Luca Lombardo de meilleurs jours, en revanche, s’identifie avec aisance au vainqueur du Minotaure, grâce à une émission claire et souple qui permet à la voix, pourtant plus lyrique qu’héroïque, de se projeter parfaitement. "
Didier van Moere pour ConcertoNet.com
Ariane - St Etienne :
"Juvénile, la distribution est aussi remarquablement homogène avec en tête le parfait Thésée du ténor Luca Lombardo "
Jacques Doucelin pour Concertclassic.com
Carmen - Lacoste :
"Luca Lombardo, enfin, met sa longue expérience du rôle de Don José au service d'une incarnation de bout en bout maitrisée, avec une conduite de la ligne, un naturel dans l'émission et une conviction dans l'accent qui forcent le respect."
Richard Martet pour Opéra Magazine
Carmen - St Etienne :
"Très en forme, Luca Lombardo paraît aussi frais et vaillant dans le dramatisme des deux derniers actes que dans les scènes élégiaques du début, avec un bel art des demi-teintes. Là encore, la composition s'avère sans aucun histrionisme."
Jacques Bonnaure pour Opéra Magazine
Louise - Opéra Bastille :
"et Luca Lombardo, ténor d’exception qui se joue du multiple rôle allégorique du livret."
Pierre-René Serna pour Scenes magazine
Louise - Opéra Bastille :
"La distribution, dans l’ensemble, satisfait plutôt, d’autant plus que les seconds rôles, sans lesquels il n’est pas de Louise réussie, ont été distribués avec discernement, à commencer par le magnifique Noctambule de Luca Lombardo – qui a, assurément, l’étoffe de Julien."
Didier van Moere pour Concerto.net
Giovanna d'Arco - Rennes :
"Luca Lombardo est très touchant dans le rôle du Roi aux sentiments nobles et généreux."
Anaclase.com
Salomé - Nice :
"A Nice, les chanteurs ont parfaitement assuré la succession de Saint-Etienne : palmes obligatoires pour l’Hérode Antipas de Luca Lombardo : infantile, pervers, capricieux ;"
resmusica.com
Werther - Dijon :
"Luca Lombardo, nous régale des « tubes » attendus : « O nature pleine de grâce », « mais comme après l’orage » ou « pourquoi me réveiller… », irréprochable de diction et lumineux de timbre."
resmusica.com
Carmen - Stade de France :
"A partir du II, c’est mieux que le sans-faute : l’un des meilleurs titulaires de son rôle (avec Roberto Alagna) est révélé. D’un « Air de la Fleur » chaste et poignant à une conclusion théâtralement aboutie, pathétique, sans le moindre débordement vocal. Bravo !"
resmusica.com
Carmen - Paris (Bastille) :
"On ne peut que tirer son chapeau à Luca Lombardo d'avoir relevé un défi impossible et d'avoir défendu son rôle vaillamment. Le français est impeccable, la musicalité bonne et les aigus très homogènes et très justes. Et l'engagement dramatique est plus qu'honorable. Chapeau donc !"
forumopera.com
Les Contes d'Hoffmann - Paris (Bastille) :
''Vocalement, le spectateur est à la fête avec, côté masculin, une distribution éblouissante.
Le 20 septembre, Luca Lombardo convainc indiscutablement dans le rôle titre : voix puissante et bien conduite, aigus claironnants, il fait évoluer son personnage de poète maudit de façon tout à fait idoine, avec une diction on ne peut plus intelligible. Ce chanteur trouve en Hoffmann un emploi adapté à ses moyens, et fait oublier aisément Janez Lotric (2000) et Marcus Haddock (2001).''
forumopera.com
Les Vêpres Siciliennes - Paris (Bastille) :
"Luca Lombardo, qui suppléait au pied levé Marcello Giordani, malade, a fait des prouesses dans le rôle périlleux d’Henri."
resmusica.com
Pour le rôle de Danieli :
"Les seconds rôles sont tous dignes de louanges, en particulier Christophe Fel et l'excellent Luca Lombardo."
forumopera.com
Sapho - Avignon :
"Luca Lombardo ne démérite pas. Le marseillais a la voix chaleureuse de Jean Gaussin. Celle donc de Des Grieux, du prophète Jean, d'Hoffmann et de Don José... Son rôle est lourd, pas toujours bien écrit, à se demander si Massenet (comme Richard Strauss !?) aimait vraiment les ténors. Une moue boudeuse et une gaucherie d'acteur naturelle peaufinent son personnage, finalement un puceau rêveur, dévergondé par une pute de luxe ! "
forumopera.com
Tosca (version fraçaise) - Paris (Opéra Comique) :
"Luca Lombardo a recueilli les applaudissements de ‘Et les étoiles brillaient…" (plus usuellement " E lucevan le stelle", acte III) que sa vaillance et la clarté de sa diction justifiaient."
ConcertoNet.com
Roméo et Juliette - Orange :
"splendide Mercutio bondissant de Jean François Lapointe à quoi répond l’arrogant Tybalt de Luca Lombardo"
L'Humanité
Salomé - Nice:
"Luca Lombardo campe d'un organe en pleine forme qu'il conjugue à une véritable intelligence du texte un Tétrarque angoissé"
Werther - Mannheim:
''"L'annonce de l'absence de Rolando Villazon a provoqué beaucoup de frustration dans le public. Monsieur Villazon a-t-il été malade ou a-t-il voulu simplement se ménager entre ses spectacles de Vienne et de Munich ?Le public discutait ferme,l'ambiance était au début ,comme on l'imagine, plutôt mauvaise.Il n'a pas été facile pour le ténor français,Luca Lombardo, annoncé en remplacement de commencer à chanter face à la déception des spectateurs.Seul le courage de relever le défi devait lui valoir la reconnaissance,car le chanteur, certes connu sur le plan international, n'est pas la superstar médiatique du moment qui était annoncée.
Au fil de la soirée il est apparu que Lombardo était parfaitement de la même classe que le Mexicain en ce qui concerne la voix. Différent naturellement, mais certainement pas moins bon.Il a une voix qui est très belle et il a répondu à toutes les attentes."''
Traduction de l'allemand par M.Macarez